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H humilié en couches.

Pour m' éviter de draguer les filles, ma compagne m' oblige à porter en permanence des couches et des culottes en plastique ! C' est la honte !

Si vous venez dans ma nurserie, vous arrivez en adulte. Par contre, vous repartez infantilisé, en couche, en culotte plastique et une tétine dans la bouche !

Parmi les différents moyens de contrôler et dominer votre esclave favoris, l’utilisation de couches offre une potentialité unique. A l’instar des équipements traditionnels de domination qui ne peuvent pas être portés en public, les couches sont généralement cachées et quand bien même elles seraient vues (intentionnellement ou accidentellement) ,elles pourraient alors supposer être portées par nécessité médicale. Donc par conséquent imposer le port de couches comme moyen de domination apporte beaucoup plus de flexibilité sans trop attirer l’attention des autorités.

La domination traditionnelle a pour objectif de réduire la mobilité de l’esclave. La domination en couches est unique car le corps de l’esclave n’est pas normalement pénétré (mais peut être aisément réalisé), il ne se sent ainsi pas agressé. L’apprentissage de la propreté est un point psychologique moteur. Beaucoup de personnes ont écrit à propos des conséquences de cet apprentissage.

Imposer à votre esclave le port de couches vise à lui ôter sa capacité à rester propre et ceci bien sur contre sa propre volonté. La propreté nous a été apprise depuis tout petit aussi quand un sujet reste confiné dans des couches sur de longues périodes, l’inconscient du sujet confronté à l’impossibilité de rester propre lui provoque anxiété, honte et panique. Le sujet finit par identifier ainsi la maîtresse à l’image du père ou de la mère. Ce qui sert les intérêts de la maîtresse bien avidement. L’image des parents dans notre inconscient est synonyme de bien-être, de nourriture ainsi que de discipline. La majorité des enfants apprennent rapidement que la révolte contre l’autorité parentale est alors futile. Imposer à votre esclave un statut d’enfant peut être très amusant pour la Maîtresse. Un des objectifs d’une éducation forcée aux couches est de provoquer l’inconfort et la gêne pour pousser progressivement le sujet à un point ou il demandera lui même à sa maîtresse l’utilisation de couches. Un sujet dominé en couches n’est pas moins dépendant de la maitresse qu’un autre type de domination. Dès que les couches sont posées avec les épingles à nourrice ainsi qu’une culotte plastique, le sujet réalise qu’il a été privé de la décision la du plus élémentaire de sa vie d’adulte : le droit de se soulager quand et comme il le souhaite. l’esclave ne pourra pas échapper aux désirs de la maîtresse qui souhaite le voir contraint à souffrir d’une incontinence forcée et ses tentatives seront vaines. La victime dépourvue sentira qu’elle ne peut se mouvoir normalement du fait de l’épaisseur des couches entre ses jambes. Celles- ci l’empêcheront de marcher normalement, et la chaleur dégagée par la culotte plastique lui provoquera d’étranges sensations. Le second point concerne l’apparence en elle même. Nous vivons une société basée sur l’image. Le culte de l’image et de la vanité sont solidement ancrés dans notre société. Aussi, forcer un adulte langé de façon indéniable à se mêler au public entraîne la victime à réévaluer sa propre image ainsi que son statut, provoquant par voie de conséquence détresse et anxiété. La maîtresse devra s’assurer que toute les personnes qui croiseront son esclave s’aperçoivent de l’épaisseur apparente sous ses vêtements. Ceux-ci ne penseront pas à mal mais simplement que ce dernier est incontinent ou bien qu’une raison médicale quelconque l’oblige à porter des couches. Cependant la victime se sentira humilié et diminué par chaque regard étrange, chaque chuchotement, qui soupçonneront ses couches et ne sera alors plus considéré tel un adulte mais plutôt comme un enfant., car seul les enfants sont censés porter des couches. Le seul obstacle de l’utilisation des couches est que les parties génitales de l’esclave sont emmaillotées et que ces dernières ne sont pas accessibles à la maîtresse. Effectivement, bien que ce soit vrai, c’est un obstacle uniquement pour les domination restant dans un cadre privé en intérieur. Cependant en dehors du cadre privé c’est un moyen de contrôle permanent sur l’esclave et de son intimité. Le maintien en couches forcée offre la perspective d’un conditionnement psychologique intense entre les exercices de domination plus classiques. L’homme et la femme réagissent différemment au fait d’être maintenu en couches.

L’homme réagit en fonction de la possibilité de voir ses organes génitaux et confirmer ainsi son statut. La femme quand à elle possède des organes sexuels internes et doit se référer à ses sensations intimes pour juger de sa condition. Toutefois l’acte de cacher les organes génitaux pour la femme n’est pas une nouvelle expérience de part le fait qu’une fois par mois elle doit garnir son entrejambe d’une protection pour ne pas tacher ses culottes .La discrétion est le mot clef chez les femmes qui gardent le secret de leurs menstruations. Cependant contraindre une femme a porter des couches offre peu de nouveautés.

Elle est habitué à faire attention aux fuites accidentelles incontrôlables et a souvent du mal a cacher son état aux autres. Ce qui explique pourquoi les femmes fétichistes des couches sont si rares. Les males manquent d’entraînement en terme d’incontinence ainsi qu’en terme de camouflage. Il n’ont pas non plus la chance de pouvoir porter de longues tenues comme des robes pour cacher l’épaisseur des couches. Même la plus mince des couches va provoquer de sérieux changement de comportement chez le sujet male, et il a été démontré que l’image de sa propre perception va être la clef de la domination pour la maîtresse. La maîtresse qui souhaite obtenir le nécessaire de base à une domination en couches n’a pas a aller chercher bien loin. Il existe une très large gamme de produits en couches jetables disponible dans la plupart des supermarchés. Cependant afin d’ajouter à l’efficacité des couches qui fuient parfois, une culotte plastique est recommandée pour son coté pratique et surtout psychologique. Ces dernières peuvent être acheté en pharmacie sans problèmes. Il existe sinon des renforts pour couches qui permettrons d’augmenter l’épaisseur de la couche et provoquer ainsi une gène qui est nécessaire à l’éducation. Les couches lavables quand a elle peuvent soit être achetées sur Internet via des boutiques fétichistes soit confectionnées soit même facilement. Découpez un drap en flanelle d’un lit 1 place permet à réaliser environ 4 couches. Théoriquement les épingles à nourrice pour bébé peuvent être utilisées mais quelques puristes préfèrent les épingles pour jupes portefeuille ou kilt car étant plus large, ces épingles donnent un coté plus bébé . Quelque soit l’équipement utilisé l’objectif prioritaire de la maîtresse est de contraindre son esclave au port de couches inconfortables, visibles, efficaces et sécurisantes. La gène sert à rappeler à l’esclave qu’il porte des couches et qu’il devra un moment ou un autre se soulager dedans.

Toutes les couches sont inconfortables pour une personne non habituée à en porter, mais cette gêne peut être augmentée par le biais d’une multitude de mesures simples. La première gêne est l’épaisseur, en particulier au niveau de l’entrejambe. Ajouter des couches pour bébés ou bien des renforts de couches à l’entrejambe en plus de celle qui est déjà en place formera un gros paquet qui risque fort de perturber la démarche même de l’esclave adoptant naturellement une démarche de canard comme les bébés. La pression à l’entrejambe m’empêchera de marcher normalement. Quand il marchera l’esclave ressentira les frictions du paquet de couches entre ses jambes et quand il s’assiéra il sentira la pression de ses couches contre ses parties génitales. Ces effets sont très utiles sur de longues périodes notamment dans des zones de transit d’aéroport ou l’esclave n’aura pas d’autre choix que de rester assis et d’endurer tout ce que la maîtresse lui a mis dans ses couches. La seconde sensation désagréable est la chaleur provoquée par la culotte en plastique. Ce qui entraînera une transpiration latente. La chaleur pourra être augmentée en fonction de l’épaisseur des couches et aussi si la maîtresse décide de lui mettre plusieurs culottes pvc. La chaleur pourra être augmentée en couvrant la couche avec de la vaseline qui fera obstacle à la transpiration. Le maintient près du corps pourra être assuré par une culotte type gaine par exemple, car la plupart des couches jetables démangent quand elles sont portées sur de longues périodes. Raser les parties génitales est une source de gêne qui provoquera des démangeaisons prévisibles tout en sachant qu’il lui est formellement interdit de toucher à ses couches ainsi qu’à ses culottes plastiques. Les anus pickets et spécialement ceux qui sont équipés d’harnais créeront un climat de tension et d’inconfort.. Un sujet langé de cette manière apparaîtra distrait et ailleurs, ce qui attirera encore plus l’attention du public. Ce genre de matériel est particulièrement utile surtout quand le sujet doit changer ses couches dans un avion. Il se rappellera ainsi qu’il est constamment sous contrôle de sa maîtresse.

La seconde considération de la maîtresse quand il confine sont esclave en couches est la visibilité Même si les fabricants de couches ont travaillé considérablement en vue de rendre leurs produits moins voyantes, ces efforts seront vains si l’esclave doit être humilié en public. En été, c’est souvent plus facile en lui faisant porter des shorts trop court pour couvrir toute la culotte plastique. La victime devra être confronté à la réalité que son secret est toujours ouvert aux regard des curieux qui souhaiteront observer plus en profondeur. En hiver, les pantalons devront être serré pour faire ressortir l’épaisseur de couches de façon proéminente, aucun pantalon de sport ne sera autorisé. La visibilité des couches sur un sujet féminin demande une stratégie différente. Les jupes seront assez courtes, pour permettre d’apercevoir la couche sous la fine culotte plastique en été. Les shorts suffisamment ouvert aux cuisses seront très utiles spécialement lors de l’essayage de chaussures pendant les séances de shopping.

Le vendeur aura alors une vue imprenable sur la condition de l’esclave pour peu qu’il s’attarde sur l’entrejambe de cette dernière. En hiver, la fille sera forcée à mettre un porte jarretelle ainsi qu’une paire de bas avec une jupe trop courte pour dissimuler les jarretelles de sa culotte plastique. Si les bas sont agrémentés d’une paire d’escarpins, elle attirera sur son passage les regards et captivera alors l’attention de tous les hommes, sur ses fesses rembourrées. A la maison ou dans des conditions favorable d’intimité, les soumis ne seront pas autorisé à se couvrir au delà de la taille. Un simple tee-shirt et la couche sont les tenues communes à tous les enfants qui n’ont pas encore acquis la propretés car ils permettent de déceler instantanément l’état des couches, cela s’applique aussi à l’esclave. Le second avantage d’une telle tenue est que la personne est ainsi forcée à voir ses couches tout en sachant qu’il ne dispose pas de la possibilité de les enlever ou les masquer sans l’intervention de sa maîtresse. Dans cette tenue l’esclave pourra être forcé à faire le ménage, ce qui signifie qu’il pourra être observé par des étrangers, dans certaines conditions comme aller chercher le journal du matin, étendre le linge dans le jardin ou la cour ou être enfermé sur le balcon pour un certain temps. Dans certaines conditions particulières l’esclave pourra porter quelques vêtements supplémentaires. Notamment s’il doit se rendre dans une laverie automatique ou bien dans la laverie commune de l’immeuble il aura la possibilité de porter un short trop court ainsi qu’un tee shirt pas suffisamment long et qui exposera le haut de la culotte plastique aux regards indiscrets à chaque fois que l’esclave se penchera. Cette humiliation aura pour effet de créer une réaction instinctive chez l’esclave qui tirera sans cesse son tee shirt comme pour cacher sa détresse et bien sur attirera encore plus l’attention des personnes pressentes sur ce qu’elle cherche à dissimuler. La vision ne dépend pas uniquement des yeux. Des couches-culottes ainsi que certaines bonnes culottes pvc peuvent être bruyantes.

Les craquements peuvent être source d’attention pour les passants comme dans certaines avenues commerçantes ou bien dans les aéroports. Pour compléter le tout les couches-culottes sont bruyantes quand on les enlève et quand on les met, aussi si votre esclave doit changer ses couches dans des toilettes publiques, il ne sera pas possible pour lui ou elle de le faire discrètement. Un autre facteur de visibilité est l’odeur. Les fabricants de couches ne parfument toujours pas leurs couches, cependant ce n’est pas un obstacle pour une maîtresse ambitieuse. Les esclaves males sont spécialement susceptible d’être terrorisé par les odeurs de vaseline ou de talc pour bébé qu’il dégagera sur son passage dans des lieux publiques. Bien sur il pourra être forcé de faire dans ses couches, et être conduit dans des endroits publiques clos et étroits comme les ascenseurs.

Après avoir ajouté plusieurs épaisseurs dans la couche ainsi que plusieurs paires de culottes plastiques, la maîtresse compétente est déjà sur de l’efficacité des points essentiels en matière de dressage. Cependant pour de longues durées et ainsi que de longues périodes de punitions quelques innovations doivent alors être apportées. Dans les situations ou le sujet doit etre capable de se changer seul, comme lors de voyages en avion, il est possible de garder l’esclave mouillé en permanence en toute sécurité. Langer avec une simple couche coton lavable ou bien une couche jetable...

Si la couche jetable est utilisée, prenez soin de la percer de façon a ce que cette dernière permette le drainage. Sécurisez la ensuite avec du scotch large au niveau de la taille en effectuant plusieurs tours . Assurez vous que le scotch est suffisamment résistant, car la couche risque de se déchirer quand elle sera trop souillée, permettant ainsi à l’esclave de changer sa première couche. Il pourra ainsi changer régulièrement de couches tout en étant mouillé en permanence. Si vous opter pour la couche coton, cousez la directement sur votre esclave pour qu’il ne puisse pas l’enlever (vous pouvez si vous le souhaitez insérer un butt plug avant) mais utilisez des aiguilles pour fil en nylon résistant.. Votre esclave n’aura plus qu’a changer régulièrement ses couches jetables qu’il mettra par dessus pour éviter de mouiller son pantalon. L’élément sécurité concerne la capacité qu’a l’esclave d’échapper ou de tricher à la punition couche pipi culotte. C’est inacceptable et doit être évité à tout prix. La stratégie est de sécuriser les vêtements qui couvrent les couches. Cadenasser la couche permet à l’esclave d’évoluer librement et lui permet d’effectuer les taches ménagères. En règle générale, une ceinture de chasteté est recommandée en plus de la culotte cadenassée. La ceinture accroîtra la gêne du sujet et l’empêchera de se masturber à travers ses couches.

L’autre alternative est d’utiliser une culotte type panty taille haute pour femme. Choisissez une culotte résistante. La culotte sera portée aussi bien par les sujets males que femelles. Prenez ensuite une fine chaîne et passer la au travers de l’élastique à la taille et mettez un cadenas. L’esclave n’aura ainsi pas accès à ses couches mais il sentira la pression de ses couches sur ses fesses et ses parties génitales. Les hommes se sentirons humiliés par le fait d’avoir a porter une culotte de femme, surtout si ils sont forcés à se promener dans des lieux publics vêtu d’un short échancré. Une fois l’esclave bien cadenassé dans ses couches et culotte plastique, la maîtresse commencera alors à mettre en place des mesures qui aggraveront la condition de l’esclave. Faire boire des quantités excessives de liquides de diurétiques et de laxatifs sont les mesures le plus communément adoptées. L’esclave prendra rapidement conscience que ses couches ne seront pas propre longtemps, surtout si la maîtresse le fait boire abondamment., au bout d’une ou deux heures il devra alors mouiller ses couches. Cette technique pourra être pratiquée au tout début de façon à lui faire prendre conscience de sa nouvelle condition. En effet au début l’esclave cherchera a combattre et rester propre comme on lui a appris. Devant l’évidence il finira par se laisser aller à mouiller ses couches puis s’habituera progressivement à mouiller régulièrement plutôt que d’attendre que sa vessie lui fasse trop mal. A ce stade la maîtresse pourra lui poser une sonde urinaire. Cette sonde le rendra totalement incontinent, et l’esclave perdra alors tout contrôle sur ses sphincters urinaires. La couche se remplira progressivement et sans que l’esclave ne puisse intervenir. Attention l’utilisation prolongée d’une sonde peut causer des infections urinaires graves. Aussi cette technique ne sera pratiquée que par des personnes formées à ces techniques. La décision de forcer l’esclave à souiller ses couches est livrée au bon vouloir de sa maîtresse, qui aura le choix de le langer comme bon lui semble et de le le l’exhiber en public ou non. Le forcer à souiller ses couches peut produire chez certains novices des résultats spectaculaires et de juger au moins une fois sa capacité de soumission. Dès que l’esclave essaiera d’échapper à l’expérience de souillage, quelques mesures pour faciliter cet acte seront alors prises.Une alternative est de lui faire avaler une bonne dose de laxatif 24 heures avant de lui mettre ses couches. Chaque administration du laxatif rappellera à l'esclave de la punition à venir et le fait qu'il va être condamné à se souiller à nouveau . Il en résultera certainement quelques pleurnichements et l’esclave suppliera alors la maîtresse de ne pas lui donner ses laxatifs, car il sait qu’une fois avalés, la sanction sera inexorablement appliquée. Une couche souillée sur un adulte, possède une odeur caractéristique. En plus des sévères humiliations réalisées pour attirer l’attention du public sur son derrière rembourré, l’esclave devra si la maîtresse l’exige se tenir à moins d’un mètre d’innocentes personnes. Un des aspects les plus payants de forcer l’esclave à souiller ses couches est qu’il subit un désordre psychologique majeur qui lui cause une terrible anxiété. Une couche pisseuse peut s’apparenter à un maillot de bain mouillé, mais l’esclave n’aura pas expérimenté les sensation d’une couche souillée et merdeuse depuis qu’il était bébé. Savoir qu’il a fait dans ses couches et qu’il ne peut rien faire tant que la maîtresse ne l’aura pas délivrée de son supplice le torture impitoyablement. Etre en couches pleines de caca est l’expérience la plus traumatisante pour un esclave surtout pendant la première heure. Pendant cette durée l’esclave sera informé de l’état lamentable de ses de la couche et l’étrange sensation de sentir ses propres déjections se répandre inexorablement.

L’esclave s’habituera progressivement à souiller ses couches si l’on respecte les techniques de bases.

Le résultat le plus important concernant le maintien forcé en couches est de rendre l’esclave incapable d’ajuster de changer ou d’ôter ses couches. Les outils de sécurités dont nous avons déjà parlé sont appropriées mais pas toujours suffisantes. Ce que l’on utilise le plus pour des séances sur de longues durées sont des moufles rigides, pour prohiber l’usage des mains. Des moufles rigides peuvent être achetées dans des magasins spécialisés ou plus récemment via Internet et ceci sans avoir a en justifier l’usage. Elles peuvent sinon être réalisées par la maîtresse lui même. Les modèles sélectionnés devront empêcher l’esclave de pouvoir saisir quoi que se soit et seront maintenus solidement voire cadenassés.. Sans l’usage de ses mains et de ses doigts l’esclave ne pourra ainsi rien tenter Il pourra être laissé seul dans la maison, et libre d’évoluer, cependant il ne pourra effectuer que des actions limitées.

Il pourra répondre au téléphone mais sera incapable de composer un numéro. Dans cet état limité, l’esclave pourra tenter de se masturber mais uniquement en frottant à travers ses couches. Ces sensations lui rappelleront alors sa condition pisseuse et provoqueront une humiliation intense. L’esclave pourra être averti qu’il sera sévèrement puni si la maîtresse trouve des signes évidents de masturbation dans la couches de l’élève. (surtout visible chez les hommes).

L’utilisation de moufles rigides peut provoquer chez l’esclave de plaisantes sensations car il se sentira libre mais juste tenu a l’écart de son désirs le plus intense : être libéré de ses couches inconfortables. Les vêtements de contention sont le plus souvent utilisés pour la nuit. Des babygros une pièce sont efficaces, car là le confinement devient encore plus démonstratif, et ajoute au fait qu’il est forcé a porter et utiliser ses couches. Les moufles rigides seront utiles pour le garder langé pour la nuit et l’empêcher de toucher à ses couches. Choisissez des babygros à fermeture éclair dans le dos que vous pourrez fermer avec un petit cadenas.

Un des avantages fondamentaux de domination de votre esclave en couches est que le scénario peut être prolongé sur plusieurs jours sans porter atteinte à la maîtresse ou à l’élève. Une fois protégé dans ses couches, l’élève est capable de vivre normalement et la domination peut se poursuivre alors en dehors du rapport privilegié élève/maîtresse.

Celui-ci pourra évoluer dans sa vie sociale tout en restant langé. Que ce soit au théâtre, dans des cocktails ou au sport, seule la présence de la couche et de son changement régulier rappellera alors a l’esclave qu’il reste sous contrôle de la maîtresse. Chaque situation sera source d’humiliations diverses et l’élève aura en permanence la crainte que l’on remarque alors ses couches. De longues durées de soumissions aux couches nécessiteront a l’élève d’avoir avec lui des couches de rechanges dans un sac qui le mettrons dans des situations embarrassantes.

Finalement la domination en couches est le meilleur moyen de garder l’esclave excité sexuellement. L’esclave apprendra a utiliser sa bouche pour remercier sa maîtresse, cependant il restera frustré sexuellement. Les stimulations inhabituelles des ses organes génitaux renforceront l’humiliation, cependant la maîtresse devra stimuler son élève par des récompenses. A la fin du dressage l’élève devra accepter de se laisser abuser sexuellement et la couche restera en place mais ouverte aux organes que la maîtresse aura choisit de visiter. Ceci renforcera l’aspect plaisir/douleur de la vraie domination en couche.
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